Justification des dénominations de voirie
Il y a plus de 1500 ans, les habitants des villages, munis de torches de paille ou de fines branches allumées (brandons) parcouraient les champs et les vergers le premier dimanche de carême, appelé " dimanche des brandons ", afin de purifier ceux-ci de la vermine et des rongeurs. Le soir, les habitants se retrouvaient pour allumer un bûcher. La Confrérie du Grand Feu de Bouge a toujours respecté cette date traditionnelle pour bouter le feu à son bûcher.
Comme le rappelle le lieu-dit mentionné à cet endroit, la " Pavée " désigne l'ancienne chaussée de Marche qui était revêtue de pavés comme seules l'étaient les voies de communication les plus importantes.
Proximité de mares naturelles propices à la présence d'amphibiens.
Proximité du ruisseau appelé communément ruisseau du Fond du Maréchal sans origine historique connue.
En mémoire d'une importante communauté namuroise partie au XVIIIème siècle coloniser cet état d'Amérique.
Blanche de Namur (†1363), fille de Jean Ier, Comte de Namur, et de Marie d'Artois. Reine de Suède et de Norvège par son mariage avec Magnus Eriksson
Bérenger, premier Comte de Namur (IXème et Xème siècles)
Rappelle le souvenir de l'occupation des bâtiments scolaires par l'école militaire des Cadets.
Issu de " Lilon " ou " Lislon " signifiant sans doute par transformation îlot ou petite île du fait qu'elle était encerclée par le Houyoux dont un bras empruntait la rue du Lombard. Jusqu'il y a peu dénommée Place Borlée, cette place retrouve sa dénomination précédente (1913) qui ne l'avait jamais vraiment abandonnée populairement.
Comtesse de Namur, épouse de Guillaume Ier, vingtième Comte de Namur (XIVème siècle)
Lors du déclin de l'empire romain, les agglomérations urbaines gauloises se resserrent pour faire face aux invasions des Germains, aux rébellions et guerres civiles. Namur, connaissant ce sort, abandonne la rive gauche de la Sambre pour se réfugier dans le quartier de l'entre Sambre et Meuse qui constitue une position merveilleusement gardée par les deux cours d'eau. La localité restera concentrée dans ce triangle jusqu'au Xème siècle. Au Moyen Age, l'on désignait du nom de " Sarrasins " toutes les populations ayant habité la Gaule avant leur conversion au christianisme. L'église Notre-Dame aurait été anciennement un temple où l'on adorait de faux dieux. C'est précisément à cause de cet édifice dû à des païens que ce quartier où l'église s'élevait se fit appeler Sarrasin. Ce Namur si petit s'appellera " la Sarasse " ou quartier des Sarrasins.
L'association des Rèlîs Namurwès a pour but de cultiver, d'encourager et de promouvoir la littérature en langues régionales de la Wallonie ainsi que la connaissance et l'usage de ces mêmes langues Elle édite la revue " Les Cahiers Wallons " fondée en 1937, organise une école de wallon, promeut activement l'enseignement du wallon dans les écoles et oeuvre à assurer un théâtre wallon.
Artiste peintre(1840 – 1899), directeur de l'Académie de Namur. Paysagiste, peintre de la Meuse, maître de l'école du gris, il témoigne d'une évidente prédilection pour les atmosphères pluvieuses ou hivernales et les sites dépouillés parfois jusqu'à l'austérité.
Comte de Namur (1276 – 1330)
Saint-Vincent, saint-patron des vignerons et des maraîchers est tout spécialement fêté à Jambes par diverses associations folkloriques en souvenir des exploitations rurales de jadis.
Proximité du lieu-dit " Sur Hulpias ", sans origine historique connue.
Proximité du lieu-dit " Terre Camp des Caos " signifiant plus exactement " Terre aux Cayaux ", " Vôuye aux Cayaux ", " Rouwale aux Cayaux " ou, en français " Terre aux Cailloux ".
Cortège musical ayant lieu chaque lundi de Pentecôte
Rappelle le passé industriel de Vedrin et en particulier l'ancienne exploitation minière.
Définition des minerais
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PYRITE, subst. fém. Sulfure naturel de certains minéraux, en particulier de fer, qui est une source importante de minerai
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GALÈNE, subst. fém. Sulfure naturel de plomb, d'un éclat métallique, cristallisant généralement en cubes ou en lames carrées, utilisé comme détecteur dans les premiers récepteurs de radiodiffusion
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BLENDE, subst. fém. Minerai de zinc, composé essentiellement de sulfure de zinc et renfermant souvent du plomb et du cadmium
Proximité du lieu-dit " Tertibu(t) ". En souvenir des anciens château et orphelinat du même nom.
Proximité du lieu-dit " Campagne du Marronnier ", lieu stratégique de batailles depuis des siècles. Théâtre notamment d'un combat entre la coalition des troupes prussiennes et anglaises talonnant les troupes Napoléoniennes lors de la retraite de Waterloo en 1815.
Du terme dialectal " comognes' " (terres communes), habitants ou exploitants de ces lieux.
A l'origine " Impasse des Capucins ", pour rappeler la présence de l'ordre des moines en ces lieux dans le passé. Le terme générique " venelle " a été préféré au terme " impasse " qui pouvait décourager le passage piétonnier entre l'Hôtel de Ville et le milieu de la cité.
Fort longtemps on crut qu'Hastedon était l'héritage de Haestaedonum (don des javelots) en souvenir de la reddition des Gaulois. César rapporte, en effet, que nos ancêtres assiégés jetèrent, de mauvaise grâce, leurs armes par-dessus les fortifications. Nul ne peut affirmer ou infirmer que l'oppidum des Aduatiques, qui selon les commentaires de Jules César contenait 57000 personnes, se situait sur ce plateau. En 1872 ; des fouilles très complètes furent effectuées au cours desquelles on mit à jour des restes calcinés de fortifications montrant ainsi qu'un camp de type " oppidum gaulois " avait été dressé là, voici presque deux mille ans. Ceci permit aux chercheurs de conclure : " De tous les lieux indiqués jusqu'à ce jour comme emplacement de l'oppidum dans lequel les Aduatiques furent assiégés par César, Hastedon présente l'ensemble le plus complet des caractères que ce général attribue à leur forteresse. Louis Torfs, en 1867, proposait après un étude étymologique très fouillée, " colline où l'on incinérait les morts " A vous de choisir. Un fait reste certain : le plateau d'Hastedon est plus de deux fois millénaire !
Parc d'affaires de Namur Loyers
Proximité du lieu-dit Grande Taille, sans origine historique connue.
La découverte archéologique à cet endroit de 63 sépultures franques est à l'origine de l'appellation " chaurnoi " (charnier) de cette plaine boisée qui descend vers la Meuse.
La découverte archéologique à cet endroit de 63 sépultures franques témoigne, s'il le fallait, de leur présence en nos régions.
Proximité du lieu-dit " Béronvaux ", sans origine historique connue
Dénomination commémorant la présence des Commandos à Namur depuis 1945 et honorant les combattants de la première unité de Commandos belges.
Site classé de la Tour et de la Maison seigneuriale d'Anhaive qu'occupa Jean de Flandre, Evêque de Liège et fils de Guy de Dampierre, Comte de Namur, de 1285 à sa mort survenue en 1291.
"Mouchon" désignait autrefois autant la fontaine publique qui se dressait à proximité que la ruelle elle-même. Anciennement, les habitants devaient s'approvisionner à des sources. L'une de celles-ci, dont l'eau était de très bonne qualité, fut aménagée en fontaine. Les usagers y avaient accès par des ruelles très étroites. Un certain Anicet, surnommé selon l'usage habituel à Flawinne, portait le sobriquet de "Mouchon". Il se bâtit une demeure près de la fontaine qui, dès lors, ne tarda pas à s'appeler la "Fontaine Mouchon".
Ce choix est déterminé par la présence voisine d'autres voies portant des noms de fleurs
Champignon comestible à chapeau jaune d'or, commun l'été dans nos bois, et appelé aussi girolle.
Champignon charnu, à spores contenues dans des tubes, dont certaines espèces sont comestibles.
Dénomination en l'honneur de leur action en notre ville, par le passé.
Galerie commerçante située à proximité de la Tour "Baduelle", vestige de l'enceinte urbaine du XIVème siècle.
Proximité du lieut-dit "Bois Rossia", sans origine historique connue.
Aire à vocation sportive.
En référence au bien-fonds, le foncier est également le joueur de balle-pelote qui joue au fond (du jeu).
Le territoire de Champion se situe en bordure sud de la région de Hesbaye.
Rappelle le passé de cette rue où il y avait une usine à chaux. Il existe encore une trace imposante de ces fours en face des établissements "Déma".
Félix Rousseau (1887-1981), historien, archiviste et folkloriste, personnalité jamboise ayant résidé en front de Meuse.
Ernest Montellier (1894-1993), musicien et compositeur, personnalité jamboise ayant également résidé en front de Meuse.
Comme cette voirie régionale mène à Bruxelles mais qu'une "rue de Bruxelles" existe déjà dans le centre-ville, que cette voirie, avant d'arriver à Bruxelles, mène à Louvain-la-Neuve et pour souligner ce lien entre la Capitale de la Wallonie et la ville nouvelle la plus récente créée sur son territoire; il a été décidé de dénommer cette voirie "route de Louvain-la-Neuve" afin d'éviter toute confusion avec la chaussée de Louvain.
Le bois Noust était un peu plus au sud, devant ce qui est actuellement la caserne du génie. Ce bois d'une superficie de 45ha appartenait à Charles-Alexis Noust et a été donné en concession par arrêté du roi Guillaume du 5 novembre 1823, à Joseph Noust, Constance Noust et Albert de Pierpont, époux de celle-ci. Le premier de ces Noust avait dès le 1er février 1809 demandé une concession beaucoup plus grande (780ha). Le nom de Noust est donc étroitement attaché à l'histoire des mines de Jambes. La concession Noust a été vendue le 2 mai 1829 au comte Alexandre de Liedekerke, principal exploitant des houillères jamboises.
Il y a eu pendant la première moitié du XIXe des concessions et des creusements pratiquement sur toute la longueur de la commune , les galeries attaquant la base du plateau et courant vers l'est sous celui-ci, parfois très loin, jusqu'au village d' Erpent. Deux veines importantes, celle dite du Moulin (lequel se trouvait sur le ruisseau descendant de l'abbaye de Géronsart) et celle dite du bois de Jambes, débouchaient pratiquement à l'endroit de la nouvelle voirie. Leur présense est attestée dans des cartes conservées à l'administration des Mines.
Etant donné à proximité immédiate d'un lieu-dit « Les Baseilles »
Les noms de plantes et fleurs s'inscrivent dans une thématique déjà bien implantée dans ce secteur.
Les noms de plantes et fleurs s'inscrivent dans une thématique déjà bien implantée dans ce secteur.
Les noms de plantes et fleurs s'inscrivent dans une thématique déjà bien implantée dans ce secteur.
Nous avons repris le nom adopté par le Conseil communal de 1986 mais qui n'avait pas été mis en application.
En référence à l'histoire du village de Malonne (Confrérie de l'Aumônière). L'Aumônière est en l'espèce une appellation bien connue qui renvoie à un aspect authentique de l'histoire locale.
Voirie publique qui se trouve au lieu-dit : Tri au Baur
Voirie publique qui se trouve à proximité de l'Ecole du Génie, du domaine militaire et du Musée de l'Armée.