Depuis le Graffiti Pshitt festival en mai 2019, plusieurs artistes ont eu l’occasion de faire dialoguer leurs talents avec le MUR de l’ancien pavillon du Tourisme. En septembre, c’est Lola Petit Pois, artiste française installée à Bruxelles, qui a reçu pour mission de peindre les douze faces du pavillon. Engagée depuis quelques années dans la cause féministe, elle raconte à sa façon l’histoire de la petite sirène. Loin de la vision romantique et fantasmée de la femme-poisson, de cette image d’adolescente éternelle dont le corps ne vieillit jamais, Lola souhaite casser le mythe de la perfection de la femme et susciter une réflexion sur l’évolution de son corps, aspect peu appréhendé dans la représentation moderne de la sirène.
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